الثلاثاء، 22 مايو 2012

Quelles sont les techniques de la formation ?

1- Les remue-méninges :
Définition : Cette technique permet la production rapide d’idées sur un thème donné. Elle fait appel à la créativité et à la spontanéité de chacun des participants. Le brainstorming ou remue-méninges est une technique qui consiste à mettre au travail pour un temps limité un petit groupe de personnes (5 à 12)autour d’une question inductrice . A partir d’une question , on demande aux participants d’exprimer librement (sans censure) un grand nombre (quantité)d’idées nouvelles (originalité) qui naissent de leur confrontation .  La production d’idées ne doit pas se faire n’importe comment, elle doit respecter quatre grandes règles :
·         Tout dire
·         En dire le pus possible et le plus rapidement possible
·         Ne pas critiquer, ne pas faire d’autocritique, ne pas chercher à justifier ou à motiver ses ides
·         Rebondir sur es idées des autres.

Objectif : On utilise cette technique à divers moment de la formation :
·         Lorsqu’il s’agit de défricher une question ou un domaine peu connu des participants.
·         Pour faire surgir de nouvelles questions ou réflexions ou pour surgir une solution à un problème en situation de blocage .
·         Pour mener une évaluation rapide , mais très informelle et forcément peu détaillée d’une application.
Le Brainstorming est une technique précise  qu’il convient de confondre avec la discussion libre sur un sujet quelconque . Le Brainstorming a pour but de générer un maximum d’idées , de suggestions , de propositions de solutions sur le thème proposé.
Mise en œuvre de la technique :
Un brainstorming comporte trois étapes :
1- Formuler une question qui exprime le problème à résoudre . Si ce problème est complexe , il sera décomposé. Cette première étape peut se réaliser en l’absence des participants , à condition qu’on leur explique bien les enjeux et les données du problème posé.
2- La production d’idées se fait de manière intensive avec la capacité de les noter au tableau. Les participants peuvent utiliser les idées émises pour en produire d’autres . Cela confère au groupe le sentiment positif de réaliser une tâche .
Cette étape doit être soumise à quatre règles impératives :
a)      Censure abolie : La critique des idées doit être réservée à plus tard . Même les expressions non verbales et l’autocritique . A ce stade , toutes les ides sont bonnes !
b)      Quantité d’abord : Plus le nombre d’idées est élevé , plus il y a de chances d’en avoir de bonnes.
c)      Farfelu bienvenu : Plus les idées sont extravagantes , mieux cela veut ; il est pus facile de les retravailler que de les trouver . Changez de point de vue moyennant des techniques telles que : réaction en chaine , adaptation , modification , multiplication , diminution , réarrangement , combinaison , association forcée.
d)      Démultiplication systématique : En plus de ses propres idées , on peut améliorer les idées d’autrui ou les combiner entre elles en vue d’en former d’autres .
3- Les idées sont passées au crible , par exemple , à travers un choix du type utile – motivant- urgent .
Forces de cette technique :
  • Bien pratiquer , cette technique permet à un groupe d’exprimer , vite et intensément ses représentations , de novelles pistes et des avis sur une question .
  • Le respect des quatre règles induit une grande créativité , ouvre des pistes nouvelles , apporte un regard neuf
  • La dynamique intense suscite une grande émulation dans le groupe.

Faiblesse de cette technique :
  • Il n’est pas facile pour l’animateur de concilier , à la fois , des qualités de rigueur et de dynamisme
  • Le non-respect des règles transforme souvent le brainstorming en ub débat stérile
  • La production d’idées peut être éphémère s’il n’est pas suivi d’un travail d’exploitation souvent ardu.
2- La résolution de problèmes :
  Définition : La résolution de problèmes est une technique d’animation dans laquelle les participants sont répartis en sous-groupe s pour dégager de leur discussion une solution à un problème précis qui leur est soumis. Il s’agit , en formation comme dans une classe , de confronter les apprenants à une situation didactique , à résoudre un problème qui donne l’occasion de confronter ce que l’on sait (ou croit savoir) à de nouvelles données.
Objectif : La technique de résolution de problèmes permet , en formation , de garantir une meilleure appropriation des acquis de formation par les participants , parce qu’ils y auront réfléchi eux-mêmes.
Mise en œuvre de la technique :
Avant :
  • S’assurer de sa propre maitrise du contenu ; anticiper quelques productions des participants , et voir dans quelle mesure on pourra soi-même réagir face à ce productions
  • Bien choisir le problème ; un problème dont le niveau de difficulté est bien dosé ; un problème centré sur l’objectif pédagogique que l’on veut atteindre.
  • Un problème que –le cas échéant- on peut décomposer en deux ou trois sous-problèmes , ou pour lequel on peut donner des indications supplémentaire (indices) à ceux qui éprouvent des difficultés.
  • Un problème qui a plusieurs solutions et qui prete à  la discussion ; mettre les consignes par écrit , en indiquant bien le matériel et les documents à utiliser par les participants pour résoudre ce problème.
  • Préparer le matériel à donner aux participants (fiches , cas, tableaux ; …)
Au moment de la présentation :
  • Préciser aux participants dans quel cadre ce problème est posé , ce que cela leur permettra d’apprendre , afin d’éviter qu’ils ne progressent de façon aveugle.
  • Venir en aide à ceux qui ont des difficultés , sans leur donner la solution
  • Veiller à comparer les solutions par les participants
  • Fixer au tableau les acquis les plus importants de l’activité , en structurant ses acquis.
Forces et faiblesses de cette technique :
La résolution de problèmes présente surtout  l’avantage de faire réfléchir l’apprenant adulte sur un problème , garantissant par là une appropriation de qualité des contenus à développer et des compétences à installer.
Une des difficultés pour le formateur débutant est de gérer les apports des participants , qui sont divergents , et donc en partie imprévisibles. Le formateur peut également être déstabilisé par certains comportements induits par le fait que l’on donne la parole aux participants . Il est également difficile d’appliquer cette technique dans les très grands groupes.

3- L’exposé-discussion :
Définition : l’exposé-discussion consiste en un apport théorique et/ou méthodologique sur un thème donné , cet apport étant réalisé en interaction avec les participants. Cette interaction avec les participants peut prendre différentes formes . Le formateur peut notamment :
  • Recueillir les représentations des participants en guise d’amorce : « que signifie pour vous le terme compétence ? »  « Qu’est ce pour vous qu’un bon évaluateur ? »  «
  • Solliciter les apprenants pendant l’exposé :  « Quelle seraient , selon vous , les réponse possibles à ce problème ? »
  • Faire appel aux expériences des participants à propos du thème abordé
  • Susciter des questions en fin d’exposé
  • Susciter un débat en fin d’exposé
Objectif :
L’exposé-discussion permet de faire le point sur un sujet donné , à la fois sur un plan théorique et sur un plan méthodologique. Il amène à poser un cadre  référence commun , à mettre en place un langage commun au sein du groupe des participants. Il sert aussi à organiser les nouveaux acquis issus des travaux de recherche et à lever les confusions qui subsistent.
Mise en œuvre de la technique :
Avant de commencer :
  • S’assurer de sa propre maitrise du contenu
  • S’assurer que l’on maitrise correctement le matériel que l’on veut utiliser
  • S’assurer que le matériel nécessaire est disponible et fonctionnel
  • Etre prêt à adapter si nécessaire le support prévu
  • Limiter le temps au maximum 20 minutes pour chaque exposé
Pendant le déroulement de l’exposé-discussion :
  • Briser les barrières : appeler les participants par leur prénom , lancer une pointe d’humour
  • Eviter les introduction trop longues : annoncer brièvement le thème , et capter rapidement l’attention de l’auditoire .
  • Etablir  et maintenir un contact visuel avec les participants.
  • Soigner son élocution , bien poser sa voix , articuler , parler de manière à être entendu de tous
  • Eviter de parler trop longtemps sans aucun feed-back
  • S’occuper de tous les participants , solliciter même les plus timides
  • Eviter tout monologue
  • Ne pas rejeter brutalement une question que pose un participant , mais l’exploiter ou alors préciser qu’un on y répondra plus tard
  • Rassurer les participants en leur montrant que le formateur est un expert .

4- le travail de groupe :
Travailler en groupe
  Le travail de groupe consiste à faire réaliser en petits groupes de participants une tache proposée par le formateur . Cette tache est prévue de manière telle que les participants sont obligés de décortiquer des éléments importants de la compétences professionnelles de base à asseoir , et de les approprier à travers la réflexion menée. En ce sens , te travail en groupe est une activité de réorganisation des représentations et d’appropriation des contenus.
 Le travail en groupe est aussi un principe formidable pour régler un problème,  pour appliquer  une formation, trouver des idées originales  ou innover. C’est aussi un outil de motivation et de responsabilisation de ses équipiers.
  Quels sont les objectifs du travail en groupe ? Comment former un groupe ? Quelles doivent être les règles du jeu ? Quelles méthodes de raisonnement utiliser est les principaux points que nous passons ?
  Travailler en groupe, c’est animer une équipe en se fondant sur l’écoute et la négociation, c’est rechercher un consensus pour la prise de décision. C’est  aussi affirmer qu’un problème pour être résolu , doit bénéficier des informations et des idées de tous ceux qui sont concernés . C’est enfin miser sur la communication entre les personnes, la responsabilisation et l’autonomie de chacun.
 Quand on travaille en groupe, on est plus créatif, plus inventif et des idées fusent, les intuitions se multiplient et pour que ces capacités de créativité et d’innovation fonctionnent à plein régime, il faut un certain nombre de règles du jeu à adopter.
Quels sont les objectifs du travail en groupe ?
Le travail de groupe est donc une technique précise par laquelle des groupes de trois à cinq participants réalisent une tache sur la base d’une consigne. Il existe à tout travail de groupe un double objectif : (important)
  1. L’objectif lié à la tache proposée , il s’agit de l’objectif apprenant
  2. L’objectif d’apprentissage prévu par le formateur à travers le travail de groupe : il s’agit de l’objectif réel , relatif à l’acquisition de la compétence professionnelle par les participants.
 Le travail en groupe doit permettre des résultats, matériels comme résoudre un problème ou bien améliorer la qualité d’une production. Mais, c’est aussi un formidable outil pour motiver les gens, dans cette optique, il favorise :
  • L’implication des participants dans leur travail
  • Leur autonomisation et leur responsabilisation
  • La réduction des expériences
  • L’amélioration de la communication et de relations entre équipiers.
Comment former un groupe de travail ?
  Un groupe de travail, c’est un ensemble d’hommes aux compétences, aux expériences personnelles et professionnelles, aux motivations différentes. Former un groupe homogène est quasiment impossible et c’est un point positif : il faut savoir qu’un groupe est d’autant plus efficace, plus productif que les connaissances et les expériences de ses membres sont hétérogènes.
  Pour former un groupe de travail, il est bon d’éviter les équipes de spécialistes qui raisonnent tous de la même manière et n’auront pas l’idée originale, l’intuition qui déclenchera la solution. Quant aux groupes de travail formés de personnes de responsabilités hiérarchiques différentes, celles-ci peuvent avoir des difficultés à communiquer : certains participants auront peur de s’exprimer, d’autres de l’a priori, etc....
  Lors de la mise en groupe , Le formateur évite les pertes de temps. Cette répartition peut se faire aussi selon plusieurs modalités :
  1. Le formateur peut diviser lui-même le groupe en fonction de la place que les participants occupent : es trois côtés d’un « U » , les deux personnes sur un banc avec les deux du banc derrière , une rangée de chaises , etc.
  2. Le formateur peut aussi laisser les regroupements se faire spontanément. Il faut alors désigner une personne autour de laquelle le regroupement pourra se faire dans un lieu connu de tous .
  3. Il peut aussi diviser le groupe en fonction de critères prédéfinis à l’avance , sur la base d’une liste de participants , sur la base de leur provenance , de leur niveau hiérarchique.
Remarque :
    • Eviter le copinage qui produit souvent des bavardages
    • Veiller à une bonne répartition hommes/femmes
Pendant le travail des groupes :
Pendant le travail en groupe , il ne faut pas penser que le formateur est libre de son temps . En réalité , il joue surtout un rôle d’animateur . Il doit être attentif à ce qui se passe dans la salle .
  • Passer au moins deux fois auprès des participants : une première fois pour s’assurer que la consigne a été bien comprise ; et une seconde fois pour voir s’ils ne rencontrent pas de difficultés.
  • Ajuster la durée du travail de groupe si l’on voit que plus d’un part des participants n’auront pas fini dans le temps prévu.
Lors de la mise en commun :
  • L’objectif est de mettre en commun des productions sous forme d’affiches , de transparents ou d’écrans Power Point . Il ne s’agit pas de faire un compte rendu fidèle de tout ce qui s’est dit dans le groupe. Il faut terminer une durée à ne pas dépasser pour l’activité de mise en commun .
  • Eviter  que l’on n’interrompe la personne qui présente avant qu’elle n’ait terminé.
  • Limiter strictement le temps de discussion par des interventions.
  • Le formateur peut inviter les experts et les spécialistes à intervenir et participer au discussion pour l’enrichir.
Forces et faiblesses :
  • Elle développe ou renforce un certain nombre de qualités morales et sociales chez le participant : tolérance , honnêteté, sens de l’appartenance ay groupe.
  • Elle encourage les timides à participer dans le travail des petits groupes
  • Elle responsabilise les participants qui peuvent se dissimuler dans la masse du grand groupe
  • Elle permet au formateur de développer une relation plus personnelle avec les groupes.
Faiblesses :
  • Elle peut générer de l’insécurité chez certains participants habitués à se référer constamment au formateur
  • Elle peut ne pas convenir à tous les participants
  • Elle peut s’avérer problématique pour une évaluation de la participation individuelle .

هناك تعليق واحد:

  1. What are the best games in slots? - Casino Sites
    How many games do 브라밝기조절 you think will be best for slots? 호반 그래프 With the growing number of slots online and on the internet and live betting Are there 바카라 필승법 other bitcasino slots games on the 벳365한글 list?

    ردحذف